Les traditions, us et coutumes, contes et légendes, vieux outils...
Règles du forum
L'écriture doit être lisible, compréhensible, le langage SMS est bien évidement proscrit.
Il est également demandé aux membres d'éviter les messages et les titres de messages en majuscules, pour permettre une meilleure lisibilité sur le forum.
Les liens publicitaires sont aussi à proscrire. Bien sûr, vous pouvez poster un lien vers un autre site Internet. Mais les liens répétitifs ou volontairement ajoutés afin de détourner la navigation des membres du site seront automatiquement supprimés.
1- Vos parents/grand-parents étaient-ils paysans? (si oui, où?) NON
2- Avez-vous été paysan vous-mêmes? (si oui, quand et où?) NON
3-Si vous n'avez pas été paysan, dans quel secteur avez vous majoritairement travaillé (industrie, services, commerce...) TERTIAIRE
4- Etes-vous née en Creuse? NON
5- Si vous êtes née en Creuse, y avez-vous vécu la plus grande partie de de votre vie? Si non, avez-vous majoritairement vécu en ville ou bien dans une autre campagne? EN VILLE
6- Si vous n'avez pas été paysan creusois (ou d'ailleurs) durant votre vie, regrettez-vous profondément de ne l'avoir pas été ? NON
7- A combien de temps estimez-vous votre présence actuelle en Creuse ? (5% de l'année ) Dès 2010 : 90 %
8- Enfin, quel est votre âge (les dames ont le droit de ne donner qu'une fourchette)? 54
Bonne compilation
Jo
Edité en dernier par chef_joseph le mardi 15 décembre 2009 22:14, édité 3 fois.
Raison :couleur pour la clarté !!
[Vous devez être enregistré et connecté pour voir les liens]" onclick="window.open(this.href);return false; [Vous devez être enregistré et connecté pour voir les liens]" onclick="window.open(this.href);return false;
On est de son enfance comme on est d'un pays. (A. de Saint Exupéry)
merci de vous prêter au jeu de ce questionnaire, si les réponses sont suffisantes, je ferai un petit récapitulatif statistique...
Si les réponses sont suffisantes...et non satisfaisantes , alors Framboise si tu as gardé un zest de nostalgie et si tu n'est pas foncièrement allergique aux sondages... ta contribution
“Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité.” Albert Einstein
Je ne suis pas nostalgique.... je réponds quand même!
1- Vos parents étaient-ils paysans? non
grand-parents étaient-ils paysans? paternelsoui , maternels non
2- Avez-vous été paysan vous-mêmes? non
3-Si vous n'avez pas été paysan, dans quel secteur avez vous majoritairement travaillé Enseignement (dont les 7 dernières années de carrière en Creuse)
4- Etes-vous né en Creuse? oui ( de souches creusoises depuis très très longtemps)
5- Si vous êtes né en Creuse, y avez-vous vécu la plus grande partie de de votre vie? 50% . Si non, avez-vous majoritairement vécu en ville ou bien dans une autre campagne? Etranger et en ville en France, loin de la Creuse.
6- Si vous n'avez pas été paysan creusois (ou d'ailleurs) durant votre vie, regrettez-vous profondément de ne l'avoir pas été? NON
7- A combien de temps estimez-vous votre présence actuelle en Creuse? )100%, depuis 1993
8- Enfin, quel est votre âge ? 66
Fais de tes rêves une réalité et de ta vie un rêve.
Pour les nostalgiques de la campagne et de ses paysans, j'aimerai dire, que pour l'être et les cotoyer, bientôt nous ne serons plus que souvenirs et nostalgie!!
Ceux qui l'étaient en 1930 travaillaient dur mais au moins gagnaient de quoi vivre et ne dépendaient pas de lois et de textes et surtout d'autres pays pour travailler.
Lucane, de quand date le livre que tu cites stp?
Je n'entends plus parler de retour à la terre mais que de départ, vu la crise et les contraintes.
J'aime la terre, ma terre ou devrais-je dire ce que j'ai pu l'aimer cette terre, reprise après mes parents.
Mais aujourd'hui, je n'ai plus qu'une envie, fuir ce milieu où tout est écrit et dicté par des technocrates qui nous mênent à la faillite. Demain nous mangerons Européens ( c'est déjà fait) et chinois car à moindre coût et je crains que les campagnes ne redeviennent à nouveau en friches
Je ne suis pas nostalgique, juste peinée pour ne pas dire en colère et révoltée contre les imbécilités qu'on nous imposent.
Les paysans des pays émergeant sont les premiers à mourir de faim et en France on ne vit que de la mendicité des primes..
Si la terre ne peut nourrir ceux qui la cultivent et qui l'aiment, alors pourquoi s'acharner à le faire????
Marie a écrit : Mais aujourd'hui, je n'ai plus qu'une envie, fuir ce milieu où tout est écrit et dicté par des technocrates qui nous mênent à la faillite. Demain nous mangerons Européens ( c'est déjà fait) et chinois car à moindre coût et je crains que les campagnes ne redeviennent à nouveau en friches
Je ne suis pas nostalgique, juste peinée pour ne pas dire en colère et révoltée contre les imbécilités qu'on nous imposent.
Les paysans des pays émergeant sont les premiers à mourir de faim et en France on ne vit que de la mendicité des primes..
Si la terre ne peut nourrir ceux qui la cultivent et qui l'aiment, alors pourquoi s'acharner à le faire????
à ce sujet, si vous ne l'avez déjà vu:
[video][/video]
Edité en dernier par joelausec le vendredi 18 décembre 2009 10:59, édité 3 fois.
Raison :En plaçant le lien entre les balises vidéo, ça permet de le lire directement dans le post.
1- Vos parents/grand-parents étaient-ils paysans? (si oui, où?) NON
2- Avez-vous été paysan vous-mêmes? (si oui, quand et où?)NON
3-Si vous n'avez pas été paysan, dans quel secteur avez vous majoritairement travaillé (industrie, services, commerce...)COMMERCE
4- Etes-vous né en Creuse?NON
5- Si vous êtes né en Creuse, y avez-vous vécu la plus grande partie de de votre vie? Si non, avez-vous majoritairement vécu en ville ou bien dans une autre campagne? VILLE
6- Si vous n'avez pas été paysan creusois (ou d'ailleurs) durant votre vie, regrettez-vous profondément de ne l'avoir pas été? PAYSANNE NON / CAMPAGNARDE OUI
7- A combien de temps estimez-vous votre présence actuelle en Creuse? (10% de l'année, 50%, 100%?) 0 % DEPARTEMENT FRONTALIER
8- Enfin, quel est votre âge (les dames ont le droit de ne donner qu'une fourchette)?57
Le nuage le plus noir a toujours un ourlet de lumière ...
Nostalgique de la campagne je veux bien le croire, mais nostalgique de la vie paysanne creusoise, là j'ai quelques doutes...
Si vous questionniez mes "cousins, (coté paternel), de 78 ans à ce jour, petits propriétaires de leur toute petite ferme, bien morcelée, près de Faux la Montagne dont ils avaient pris la suite à la retraite de mon oncle ; ils n'ont pas souvenir de moments de "bonheur" mais de moments de travail acharné, de journées qui n'en finissaient plus surtout en période de fenaison, de moisson, et tout cela leur permettait tout juste de vivre en autarcie. Ils ont dû attendre la retraite pour vendre quelques lopins de terre et avoir sanitaires , salle de bain ,isolation, chauffage , ..Lui regrette d'avoir dû abandonner sa vie de maçon à Lyon. Elle, dont le frère jumeau est médecin, ne se réjouit pas de sa vie de paysanne..souvenirs de "galère" me disait elle encore il y a un mois..tous deux trouvent qu'ils se sont beaucoup investis pour bien peu aujourd'hui! J'ajouterai que ma tante était restée à la ferme alors que tous ses frères étaient à Lyon ou Paris,...où ils ont achevé leur vie , où leurs enfants continuent à vivre et n'envisagent pas du tout de retour en Creuse où certains n'ont pas remis les pieds depuis plus de cinquante ans! . Pour raison de santé,seul, mon père est revenu en Creuse
Mes grands parents maternels étaient meuniers, ils avaient aussi une petite propriété de 9ha environ, avec 8 vaches limousines , une dizaine de brebis ( de la laine aux vêtements), 4 ou 5 chèvres et toutes les volailles que l'on peut avoir dans une ferme. J'ai pendant les années 50 à 60 passé toutes mes vacances scolaires avec eux....et je peux vous assurer que le travail des champs était harassant et sans repos: donc pour moi aucune nostalgie de cette vie paysanne comme je l'ai dit ....mais un profond attachement pour la valeur du travail, la valeur des "produits" et cette nature où j'ai grandi. L'un de mes oncles était charpentier à Bordeaux, l'autre plâtrier en Creuse, ma tante secrétaire de direction à Paris,tous rappliquaient pour les foins! sauf maman femme au foyer ( c'est moi qui venait aider à sa place!) car déjà à cette époque la ferme et la meunerie (moulin à eau depuis quatre générations) ne pouvaient plus les faire vivre!
J'y suis revenue m'y installer pour raison familiale ...aucune nostalgie de la vie passée ...mais contente de l'avoir connue pour faciliter ma réadaptation !
Je l'ai déjà dit, la creuse a un pied dans le moyen âge et un pied dans le 20 ème siècle...et je ne pense pas qu'un seul d'entre vous accepterait de vivre uniquement , sans aller jusqu'au moyen âge, comme c'était le cas en creuse en 1950., car là, j'ai connu! L'eau, au robinet, dans notre commune, est arrivée en 1968!
Vivre ici, c'est sans doute un paradis pour ceux qui aiment le désert vert mais" pas vie à l'ancienne".
Il faut dire, en passant, que dans la région de Chartres, par exemple, des paysans avaient des chambres froides aussi grandes que nos granges alors qu'ici on nettoyait toujours les étables à la fourche , à la brouette...et que le tracteur ne commençait qu'à montrer son nez!
Mes voisins paysans, je ne les entends que se plaindre, ( pourtant travail très bien modernisé et bien moins pénible)..sauf les épouses qui ont toutes une activité extérieure et sont contentes d' échapper à l'impôt sur le revenu!
Ne me croyez pas aigrie....j'ai juste envie de rétablir un peu de " ma réalité".
J'attends vos réactions!
Fais de tes rêves une réalité et de ta vie un rêve.
Mjo, j'ai connu la campagne, sans eau, sans chemin et sans électricité, ni chauffage.
Et cela en 1973 et oui! Dans une petite ferme du Poitou que mon mari avait repris avec un de ces frères.
J'ai connu le transport des bidons d'eau à bout de bras ( 20 l de chaque coté) sur une distance de plus de 200m pour abreuver les chèvres et au retour autant de lait , trait à la main, 60 chèvres. Dans le froid, et les courants d'air, et sans confort. 40kg pour une jeune femme qui n’en pesait à l’époque que 48 !!! C’est lourd, et même enceinte j’ai continué, nous n’avions pas d’argent à gaspiller dans de l’essence et une auto pour y poser les bidons.
J’ai connu je pense ce que certains ont connus en 50.
J’ai commencé par le « début » en bas tout en bas, et j’espère que ma retraite sera douce et heureuse. Non, je ne dis pas que j’ai été malheureuse, mais les femmes ont peiné, et trimé sur les fermes..
La Creuse sera pour moi, mon oasis, loin de tout ce qui m’exaspère, mais je prépare ma venue afin que j’aie confort et paix, je ne veux plus trimer comme une bête.
A chaque époque son histoire et ses difficultés et à chaque âge aussi
Je comprends parfaitement et suis bien contente que tu aies pu en sortir et que tu puisses atteindre ce but que d'autres, plus âgés, ont espéré sans avoir pu l'atteindre.
Je te souhaite d'en profiter longtemps.
Fais de tes rêves une réalité et de ta vie un rêve.
Un de mes textes écrits en hommage aux femmes de la terre
Hommage aux femmes de la terre, aujourd’hui retraitées
Lorsque l’on parle d’agriculture on ne parle que de ses paysans, mais jamais de « ses paysannes ». Mesdames, on vous a toujours ignoré, et je vais m’efforcer de vous redonner cette place et cette reconnaissance qui n’aurait jamais du vous être dérobée.
Vous avez donné sans compter pour ce métier que vous avez épousé, par choix ou par amour d’un homme. Choisit sans doute dans la lignée de votre famille, où l’on naît paysan et où on le reste jusqu’à la fin de sa vie.
Vous avez sans doute suivit les traces de vos parents ou reprit leurs terres, car n’ayant pas fait d’études et très tôt à l’ouvrage. Vous n’aviez pour horizon que de suivre le chemin de votre mère.
Vous qui avez trimés aux cotés de vos époux, et seules à la fin de votre vie.
Vous les oubliées du système agricole, vous les sacrifié es dans ce monde « d’hommes ». Vous les oubliées aussi, lorsqu’il s’agit de prendre une retraite bien méritée.
300 euros par mois ! Est-ce là la juste reconnaissance de vos années de labeur ?
Nos anciennes agricultrices ont si peu pour vivre, que certaines vont quémander des repas aux restos du cœur, pour se nourrir chaque mois !
Oh, il est long et dur le moment où elles osent faire le premier pas pour aller demander de l’aide. C’est qu’elles sont fières nos paysannes. Demander à manger, c’est un peu comme s’abaisser à mendier.
Quelle honte je ressens pour notre métier !
Nous les nourrisseurs n’arrivons même pas à nourrir nos mères !
Mesdames, je vous dis chapeau bas, pour votre courage et votre volonté, qui n’a faillit à aucun moment. L’agriculture sans vous ne serait ce qu’elle est.
Vous qui êtes l’âme et le cœur du foyer, compagne fidèle et dévouée. Sachant concilier travail, vie de famille, vie de couple et de mère.
On vous a trop souvent considérée comme sans profession, vous qui en accomplissiez plusieurs dans la même journée.
On vous a souvent négligé, puisque discrète et humble, comme on vous avait apprit à l’être. Il est vrai qu’on ne vous laissait guère le temps de réfléchir sur votre sort, ni celui de vous plaindre ! Et d’ailleurs, si vous aviez eut la force ou l’occasion : l’auriez-vous fait ?
On a toujours trouvé normal autour de vous, que les premiers rayons de l’aube vous trouvent éveillée, prête pour une longue journée de labeur.
On vous a « éduqué » à être une femme et une mère dévouée, aussi, vous vous êtes cantonnées dans ce rôle.
Discrètes et laborieuses. Petits bras donnés sans compter pour faire vivre et prospérer nos campagnes. Du champ à l’étable et de la table au lit !
Tenant les cordons de la bourse, économes, sachant gérer et épargner.
Je vous revois mangeant debout ou après l’heure : servant « les hommes », assis autour de la table, avalant votre repas en hâte, avant de retourner aux champs ou accomplir maintes tâches.
Je voudrais dire à ces messieurs qui liront ma lettre, que si bon nombre d’entre eux, n’ont pas de compagnes ou les voient s’enfuir, c’est parce que la vie à leur coté leur paraît trop rude et qu’elles n’y trouvent pas leur compte. Elles n’y trouvent pas non plus la reconnaissance ni l’épanouissement de ce qu’elles sont.
Les jeunes femmes ont fuit les campagnes et ne veulent plus vivre dans l’ombre d’un compagnon, mais être reconnue à leur juste valeur.
Cette nouvelle génération, a vu comment sa mère ou sa grand-mère a travaillé et comment elles finissent leur vie : avec une maigre retraite, puisque encore une fois, oubliées du métier.
J’entends encore trop souvent des réflexions de ces messieurs voir même de nos jeunes du style : les femmes d’agriculteurs s’installent, pour bénéficier de tel ou tel avantage, ou bien alors, mais elles ne sont agricultrices que les 3 dernières années, lorsque leur mari sont à la retraite ! Ne serions nous vos égales que pour fournir de la main d’œuvre ?
Messieurs de grâce, un peu d’humilité et regarder vos mères et pensez à tout se travail qu’elles ont effectué et que sans elles, vous ne seriez pas agriculteurs.
Je veux sortir de l’ombre, cette génération de femmes sacrifiées et leur donner enfin la place qu’elles méritent.
Vous rendre hommage pour vos années passées, transparentes, comme invisibles, pour ceux qui vous côtoyaient.
Vous auriez mérité, Mesdames que l’on vous couvre de fleurs, afin de vous remercier, comme toute femme et mère dévouée.
Vous auriez mérité les plus belles robes et les plus belles vacances, comme une gratification dans ce métier ingrat et harassant..
Au lieu de cela, votre seule sortie : la messe du dimanche et parfois le marché!
Vous auriez mérités des bas de soie et des habits de Reine, mais vos mains trop abîmées se seraient accrochés aux mailles et les auraient filés.
Vos mains, usées par le travail à la ferme et les nombreuses lessives, par tous les temps. Mains rugueuses et pourtant si douces pour ceux que vous aimez. Sachant se poser sur le front fiévreux d’un enfant, ou se posant sur celles d’un mari, lorsque le doute et la fatigue se faisaient trop sentir.
Vous méritez Mesdames, un repos bien mérité, dans le confort et la quiétude.
Mesdames, je m’engage aujourd’hui, à vous redonner cette place qui aurait du être la votre et cette reconnaissance bien que tardive, de votre droit à l’égalité de retraite et de traitement. Je vous redonnerai vos lettres de noblesse et une retraite digne.
A ma mère et ma grand-mère et toutes ces inconnues croisées au cours de ma vie.
Ce que décrivent MJO et Marie est objectif. Ces agriculteurs et agricultrices ont trimé très dur pour y arriver. Les situations sont cependant diverses et variées, il ne faut pas forcément généraliser même si une certaine précarité à l'âge de la retraite peut être le lot de beaucoup. C'est surtout une question de statut, je connais des paysans dont l'épouse a fait carrière dans la fonction publique ou dans le privé ce qui met du beurre dans les épinards au moment de la retraite. Maintenant pour certains, ils ont du bien et éventuellement en vendent quelque peu pour améliorer le quotidien quand l'heure de la retraite a sonné tel l'exemple cité par MJO.
Ceci dit il est vrai que le revenu agricole diminue au fil des ans et que c'est honteux et désolant. Et un renversement de cette tendance paraît bien hypothétique
“Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité.” Albert Einstein
1- Vos parents/grand-parents étaient-ils paysans? (si oui, où?)oui grands parents maternelle a Lamaids.23
2- Avez-vous été paysan vous-mêmes? (si oui, quand et où ?) non
3-Si vous n'avez pas été paysan, dans quel secteur avez vous majoritairement travaillé (industrie, services, commerce...) commerce
4- Etes-vous né en Creuse?non ma maman moi Montluçon
5- Si vous êtes né en Creuse, y avez-vous vécu la plus grande partie de de votre vie ? Si non, avez-vous majoritairement vécu en ville ou bien dans une autre campagne ? campagne montluconnaise
6- Si vous n'avez pas été paysan creusois (ou d'ailleurs) durant votre vie, regrettez-vous profondément de ne l'avoir pas été ? non
7- A combien de temps estimez-vous votre présence actuelle en Creuse? (10% de l'année, 50%, 100% ? )1 ou 2 jours
8- Enfin, quel est votre âge (les dames ont le droit de ne donner qu'une fourchette) ? 52ans
parmesane a écrit :1- Vos parents/grand-parents étaient-ils paysans? (si oui, où?)oui grands parents maternelle a lamaids.23
Bonjour, meci pour tes réponses. Comme je ne connaissais pas, j'ai cherché où était Lamaids, et l'Internet me dit que c'est dans l'Allier, et non pas en creuse. C'est ça?
Oui Tiston, la nationale 145 traversait Lamaids pour aller à Montluçon (il y a maintenant une déviation en 4 voies) et c'est le premier village quand on sort de la Creuse sur l'ancienne route.
stone23 a écrit :Oui Tiston, la nationale 145 traversait Lamaids pour aller à Montluçon (il y a maintenant une déviation en 4 voies) et c'est le premier village quand on sort de la Creuse sur l'ancienne route.
C'est le premier radar qu'on rencontrait en arrivant en Creuse.
Il me semblait bien que Lamaid était dans l'Allier, mais comme il y avait un 23 à coté, j'ai pensé qu'il y avait aussi un Lamaid en Creuse.